Attisez-le avec vos mots

Être coquine est une histoire de posture, de gestes, et en grande partie de mots. Il n’est pas non plus question d’adopter un vocabulaire « vulgaire », mais de verbaliser vos envies. Par exemple, lorsqu’il rentre le soir, encore habillé de son smoking, regardez-le droit dans les yeux et dites-lui à quel point il vous fait envie.

Si vous êtes plus timide, vous pouvez également opter pour l’envoi de sextos. Vous servir de votre téléphone est un moyen simple mais radical de faire monter le désir d’un homme de manière coquine. Soyez sexy et sensuel dans vos sextos et n’hésitez pas à envoyer quelques photos « audacieuses » de vous pour ajouter plus d’effets. Par exemple, pourquoi ne pas lui envoyer une photo de vous sur le lit, en sous-vêtement sexy avec une légende « je t’attends ».

Assumez votre côté sauvage

Commencez par faire une croix sur les pyjamas hideux et dites bonjour aux nuisettes fines et sexy. De plus, vous pouvez prendre les devants de vos ébats amoureux. Soyez sauvage, laissez-vous tenter par les nouvelles expériences et faites-lui découvrir de nouveaux jeux sexuels comme le tel domina par exemple. En effet, le tel coquin est un bon moyen pour raviver la flamme et augmenter le désir sexuel entre deux personnes.

Les femmes coquines sont les femmes conscientes de leur sex-appeal. Pour en devenir une, vous devez donc travailler sur vous-même et vous aimer. Si ce n’est pas encore le cas, il existe différents exercices de confiance en soi et de développement personnel qui permettent d’y arriver. A contrario, si vous êtes du style à avoir confiance en vous et savoir ce que vous valez, vous n’aurez aucun mal à être coquine au lit.

La coïtalgie ou dyspareunie

Ce qu’on appelle coïtalgie ou dyspareunie est un coït qui fait mal ou qui gêne, ce que soit pendant ou après l’acte sexuel. Aussi bien les hommes que les femmes peuvent être touchés par ce problème sexuel. Chez l’homme, la douleur survient durant l’éjaculation et souvent, ce problème a pour cause une infection urinaire. Chez la femme, la coïtalgie s’assimile davantage à une gêne au niveau des organes génitaux au moment de la pénétration. Mais elle peut être aussi associée au vaginisme et cause souvent contractions et brûlures. L’origine de ce problème est plutôt d’ordre physique, par exemple un manque de lubrification.

La perte du désir sexuel

Hommes et femmes peuvent perdre le désir sexuel, de façon ponctuelle ou sur des durées plus longues. La cause peut être hormonale pour les femmes, peut-être à cause d’un faible taux d’oestrogène. Cela arrive souvent aux femmes ménopausées mais peut survenir également plus tôt, pour différentes raisons, comme la grossesse, l’allaitement, etc. Pour les hommes, cette perte du désir peut être provoqué par la baisse de testostérone mais parfois, c’est dû à des problèmes de couple, à un stress important ou à une grande angoisse. Dans tous les cas, la perte du désir sexuel est un trouble sexuel qui se traite bien, le plus important est que les personnes concernées en parlent à leur médecin.

Les herbes et les épices

Ajouter certaines herbes et certaines épices dans vos plats peut épicer vos relations puisqu’elles jouent un rôle primordial dans la stimulation du désir sexuel. En tête de liste, on vous recommande le safran. En effet, chez l’homme, cette épice accélère l’érection et elle améliore aussi sa qualité. Chez la femme, en revanche, le safran augmente l’excitation et optimise la lubrification.
Ensuite vient la cannelle. Grâce à sa forte teneur en vitamines, cette dernière améliore la vitalité de l’organisme notamment la vitalité sexuelle.
Le gingembre est composé d’huile essentielle et du gingérol. Il s’agit d’une substance qui stimule et revitalise l’organisme. La vertu vasodilatatrice du gingembre favorise l’afflux du sang, condition indispensable à l’érection.
D’autres épices comme les piments en particulier le piment rouge et le clou de girofle sont considérées depuis la nuit des temps comme un excellent aphrodisiaque. Dans la gamme des herbes, on peut citer le thym, la muscade, le cumun et la sarriette.

Les fruits de l’amour

S’il y a bien des fruits aphrodisiaques, ce sont bien la grenade et la figue. En effet, riche en antioxydant, la grenade favorise la circulation sanguine afin d’optimiser l’afflux de sang dans les organes génitaux pour faciliter ainsi l’érection. Certains médecins préconisent la grenade chez les personnes souffrant de problème d’érection léger ou modéré. La figue aussi, quant à elle, est considérée comme un accélérateur de la libido grâce à ses propriétés antioxydantes et sa forte teneur en potassium. En effet, le potassium garantit une bonne performance énergétique indispensable pendant l’acte sexuel.
Dans ce sens, la banane et la cerise sont aussi des fruits aphrodisiaques. Riches en lycopène, la pastèque et la tomate améliorent la circulation sanguine. Chez les hommes, elles préviennent le cancer de la prostate.

Les légumes de l’amour

La relation sexuelle demande un bon niveau d’énergie d’où la nécessité d’un bon apport en vitamine. Ainsi, certains légumes influencent positivement sur la relation intime. L’asperge, par exemple, accélère la production de la testostérone. C’est aussi le cas de la pomme de terre.
D’autres légumes comme l’artichaut ainsi que le concombre stimulent aussi le désir sexuel. Effectivement, ces légumes sont riches en phosphore et en minéraux qui sont les principaux actifs de la libido.
Enfin, le céleri grâce à présence d’androstérone favorise l’attraction entre les deux sexes. Cependant, pour éviter les problèmes d’indigestion, évitez le céleri rémoulade qui est particulièrement lourd et gras.

Changer de pratiques

Cela semble ridicule à entendre, pourtant il y a des gestes écolos à avoir quand on parle de séduction. Offrir des fleurs naturelles plutôt que des fleurs artificielles. Se rendre au rendez-vous à pied, ou même proposer une ballade romantique à vélo. Choisir un restaurant bio, ou choisir un menu de saison. Pour la femme en particulier, choisir un menu qu’elle avalera en entier. Sexuellement, préférer le faire dans le noir, éviter les caresses sous la douche. Bref, toutes sortes de petites choses auxquelles on ne pense pas forcément sous le feu de l’action, mais qui doivent devenir des réflexes.

Changer d’accessoires

D’abord en matière de contraception. Le latex naturel est biodégradable, donc se détruit plus vite que le latex synthétique. Mais dans le meilleur des cas, mieux vaut privilégier des contraceptions qui font effet pendant une certaine durée. Le stérilet, ou les implants par exemple. Les pilules aussi, à condition de ne pas jeter leurs contenants partout. Ensuite, la lingerie. Tant pour l’environnement que pour la santé, éviter de porter des matières synthétiques. Au moins, éviter d’en porter trop souvent. En fait, tout est question de choix. Il existe des gammes bio pour presque tout. Le reste s’en remet à notre conscience.

Un préliminaire hors du commun

Le visionnage de film osé peut changer un peu les rituels classiques. Ce peut vous rendre la soirée beaucoup plus intéressante.
Pour les couples qui durent depuis des années et qui consultent, un sexologue pour remettre un peu de piment dans leur vie, se lancer dans ce genre de projet est fortement conseillé. Vous êtes après tout entre deux adultes consentants. Il ne devrait donc pas y avoir de problème. De plus, chacun est prêt à satisfaire l’autre.

De nouvelles inspirations

Dans les films de ce genre, les scénaristes ainsi que les acteurs trouvent toujours de quoi étonner leur public. De nouvelles pratiques, de nouvelles positions : ce sont en fait que des méthodes de kamasutra, la lecture de longue haleine en moins.
Vous avez envie d’un peu plus de piment dans la chambre à coucher, prendre le temps de dépasser votre pudeur est la première chose à faire. Et attention, dans les scénarios, il n’y a pas que les positions qui doivent vous interpeller, mais aussi les tenues, les répliques, etc.

Plus besoin de louer

Le véritable obstacle pour les femmes au visionnage des films de ce genre est la honte de devoir louer la cassette auprès des boutiques. Mais aujourd’hui, avec internet, les films osés s’invitent carrément chez vous. Vous pouvez donc les visionner en toute tranquillité et en toute intimité, tout en gardant ce genre d’activité pour vous.
Attention cependant à ne pas en devenir addict. Messieurs, ce n’est pas parce que votre femme accepte de tenter l’expérience que vous devez insister pour le faire tous les jours.
 

Les raisons de la baisse de la libido

Il est vrai que la jeune maman n’a pas particulièrement envie de sexe après l’accouchement. En cause sont les hormones, mais aussi la fatigue. Néanmoins, il y a des raisons physiques qui font qu’il vaut mieux éviter d’avoir des rapports sexuels après l’accouchement. D’abord, les saignements qui suivent l’arrivée du bébé durent de trois semaines à deux mois. Pendant ce temps, le col de l’utérus est ouvert. Le sang qui afflue, plus cette ouverture favorise les infections. Par ailleurs, les organes à l’intérieur ont besoin de temps pour se remettre en place.

Quand reprendre la relation physique ?

Pourtant, les six semaines préconisées par les médecins ne sont pas obligatoires. Si la femme a la chance de ne pas subir une baisse importante de la libido, le couple peut reprendre l’activité sexuelle quand il le souhaite. Sauf, bien sûr, en cas de contre-indication. Pour les femmes qui ont subi une césarienne, le délai d’attente est obligatoire. Il ne faut pas risquer que les fils se rompent. De même pour celles qui ont eu une épisiotomie. Il faut attendre que les fils tombent. Mais, cette période d’attente n’a pas à être un désert sexuel. En fait, c’est l’occasion de tester de nouvelles caresses, sans pénétration. La femme peut jouer à la dominante, et imposer ses lois. Pour celles qui peuvent se permettre la pénétration, les choses ne sont pas forcément plus faciles. Si la libido est vraiment en deuil, le manque de lubrification rendra la pénétration douloureuse. Ce n’est pas une raison pour ne pas essayer.

L’insatisfaction sexuelle : facteurs majeurs des disputes

L’activité sexuelle tend à diminuer avec le temps. Il arrive même qu’elle cesse subitement. Elle ne constitue plus qu’un devoir conjugal et non une source de plaisir. Or cela peut créer un sentiment de frustration dans un couple et peut favoriser l’éloignement. Les disputes deviennent plus fréquentes et se déclenchent parfois pour des sujets sans intérêt.

L’activité sexuelle : pour un couple épanoui

L’activité sexuelle tend à diminuer quand le travail commence à prendre de la place dans le quotidien. Le plaisir qu’elle procure diminue également au fil du temps et la complicité qui avait uni le couple au début de la relation n’existe plus. Elle devient une routine comme toutes les autres activités communes du quotidien. Pour l’épanouissement du couple, l’homme doit tout faire pour faire renaitre le plaisir, en permettant à la femme de sortir de cette routine pour qu’elle puisse vivre pleinement sa vie intime.

L’épanouissement sexuel des femmes : ce pas toujours évident dans un couple

L’absence de désir chez la femme corrompt son équilibre émotionnel. La monotonie s’installe vite dans le couple, alors que cela a un impact sur la vie sexuelle du couple en général. L’acte sexuel ne lui apporte rien, surtout si l’homme effectue les mêmes gestes. L’homme a souvent du mal à aider la femme à trouver son plaisir sexuel. Cela demande des efforts et un peu de temps. Parfois, pour s’en sortir, les couples doivent faire appel à un coach, qui aidera la femme à se découvrir et à retrouver le plaisir que procure l’acte sexuel.

L’origine psychique des douleurs pendant la relation sexuelle

La plupart du temps, la douleur pendant la relation sexuelle est d’origine psychologique. Le simple fait de craindre d’avoir mal peut effectivement affecter les nerfs. La crispation des muscles du périnée aggrave les sensations désagréables. Les personnes qui ont eu un tout premier rapport sexuel douloureux peuvent ressentir la même expérience à chaque renouvèlement. La solution réside dans la relaxation. Les préliminaires seront aussi importants pour conditionner le corps à la pénétration.

La douleur vient de la ménopause ou d’une propreté excessive

Arrivé à un certain âge, le corps de la femme subit un profond changement. La baisse d’œstrogène aura une influence sur la lubrification. Pendant un épisode de sécheresse vaginale, la friction peut occasionner des douleurs. Il faut lubrifier par un moyen externe, de préférence bio. Parfois, l’excès d’hygiène intime peut engendrer différents problèmes. L’utilisation de gel agressif casse l’équilibre de la flore vaginale. Pourtant, les bonnes bactéries qui y vivent sont utiles pour la lubrification. Un toilettage à l’eau du robinet par jour suffit puisque le vagin est tenu se nettoyer tout seul.

Des infections et autres pathologies en cause

La douleur peut survenir suite à une infection vaginale. Les bactéries ou les champignons s’attaquent aux muqueuses au point de les rendre très sensibles. La mycose causée par les champignons est souvent responsable des douleurs. Cette maladie se soigne assez facilement. C’est aussi le cas de certaines infections urinaires. D’autres pathologies plus profondes causent également des gênes persistantes. 7% des femmes ont l’endométriose. Elles ont un tissu qui tapisse l’utérus et les organes environnants pour les rendre sensibles.